Faut-il vraiment être un bad guy pour séduire?

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Être un «nice guy», c’est bien... mais ça rend invisible. Quand ce sont les garçons les moins bien intentionnés qui parviennent à conquérir le monde (et notamment les filles), il y a de quoi se poser des questions, et avoir envie de devenir nettement moins gentil. Le cinéma traite régulièrement la question, en oubliant de souligner l’ambiguïté de la chose.Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d'actualité. Parce que la parole masculine est dominante, sauf lorsqu'il s'agit d'interroger les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l'exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram (retrouvez-y aussi le compte de Mansplaining). Références:Be bad! (Miguel Arteta, 2009)The Mask (Chuck Russell, 1994)Fight Club (David Fincher, 1999)30 jours max (Tarek Boudali, 2020)Liste des attaques et tueries inspirées par le mouvement incelMusique: «Warm Sea», Savvier

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