Voyage sans retour au Cho Oyu : « Si nous avions eu les portables, personne ne serait mort »

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A 92 ans, Micheline Rambaud est le dernier témoin de la première expédition internationale en Himalaya exclusivement féminine, conduite en 1959 par l’alpiniste Claude Kogan, devenue la femme la plus haute au monde, cinq ans plus tôt. La première de cordée, une de ses compagnes et deux sherpas ne devaient jamais revenir des flancs du Cho Oyu (8188 m), sixième plus haut sommet du monde. Plus de 60 ans après, la cinéaste et benjamine de cette aventure tragique relate ce « Voyage sans retour » dans un carnet de bord exhumé que publie Catherine Destivelle aux éditions du Mont-Blanc. Depuis sa résidence d’Annecy, la fille du photographe grenoblois de l’avenue Alsace Loraine se souvient de cette entreprise pionnière. Dans le contexte misogyne de l’époque elle avait défrayé la chronique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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