Belle-mère, belle-doche, marâtre: pourquoi on en parle en mal?

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Fiona Schmidt n'a jamais voulu être mère. Mais lorsqu'il y a dix ans, elle a rencontré un homme qui était père de trois filles, elle n'a pas fui à grandes enjambées pour autant. La parution de son Guide féministe de la famille recomposée est l'occasion de réfléchir sur le statut de la belle-mère (qui n'est pas le même que celui du beau-père) ainsi que sur le rôle de l'homme lorsque c'est lui qui a déjà des enfants.Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d'actualité. Parce que la parole masculine est dominante, sauf lorsqu'il s'agit d'interroger les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l'exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram (retrouvez-y aussi le compte de Mansplaining). Références:Ma meilleure ennemie (Chris Columbus, 1998)Fiona Schmidt, Comment ne pas devenir une marâtre – Guide féministe de la famille recomposée, Hachette, 2021Musique: «Warm Sea», Savvier

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